26 octobre 2010

Free to P(l)ay

Ville espagnole tirée du jeu Pirates of the Burning SeaLe MMORPG (jeu de rôle en ligne) Pirates of the Burning Sea va changer de modèle de business à la fin du mois prochain. Il va devenir gratuit. C'est-à-dire qu'un abonnement ne sera plus nécessaire pour avoir accès au jeu. Les joueurs pourront accéder à des trucs et des bidules (je ne sais pas encore trop quoi) vendus pour des doublons pas virtuels du tout sur la boutique en ligne du jeu. Néanmoins, pour l'amateur de pirates qui voudrait s'essayer à la chose, ça pourrait être intéressant. Une version avec abonnement sera toujours disponible pour les "hardcore gamers".

Plus d'infos sur le site officiel du jeu.

En résumé, c'est un jeu du type "royaume contre royaume", c'est-à-dire que les joueurs appartiennent à une nation (Français, Anglais ou Espagnols, auxquels il faut ajouter les "fouteurs de merde" que sont les pirates qu'on peut considérer comme une sorte de nation dans le cadre du jeu). Ces pays se font une guerre aussi bien commerciale qu'à tirs de boulets de canons sur les mers. Le PvP est donc bien présent dans le jeu, et n'est pas cantonné à des zones spéciales, même si à mon avis, on peut plus ou moins ignorer cet aspect en tant que joueur occasionnel (le tout est de ne pas mettre les pieds n'importe où).
Le jeu présente deux aspects différents : le côté terrestre (le personnage se balade à pied dans les villes ou la jungle) et le côté maritime (on contrôle un navire).
Le commerce et "l'artisanat" (on devrait plutôt dire l'industrie ici) sont plus développés qu'habituellement dans les MMORPG.
Et enfin, j'ai trouvé, lorsque je l'avais essayé, que le jeu était assez complexe. Il faut un certain temps pour en maîtriser tous les aspects. A voir comment il a évolué depuis mon test (je n'aurais pas payé un abonnement pour ça, mais maintenant qu'il devient gratuit, je vais aller y refaire un tour).

04 octobre 2010

Lotus noir

Lotus vient d'annoncer au salon de Paris sa nouvelle gamme.
En reprenant des noms archi-connus, mais certainement pas l'esprit (sans jeu de mots) .

Cinq modèles annoncés d'un coup, avec une montée en gamme (et en prix, surtout pour la future remplaçante de l'Elise), avec des looks déjà vu ailleurs. Et une grosse prise de poids et de puissance. Colin Chapman doit se retourner dans sa tombe.

Effets d'annonce pour faire monter la cote de la marque avant de la revendre (j'ai déjà connu ça à mon niveau) ?

Ou vraie tentative de relancer la marque en faisant fi du passé ? Mais la volonté de faire plus exclusif va amener la marque à concurrencer des marques avec des noms qui font plus rêver le commun des mortels. Une autre expression de cette volonté de faire plus exclusif va passer par la fermeture d'un bon paquet de concessions. Il y en aurait trop paraît-il. J'étais plutôt de l'avis inverse. Je suppose qu'on doit se faire du souci chez Lecler à Ans.

Sources:
http://www.lotuscars.com/en/future-cars
http://www.bbc.co.uk/news/business-11440488
http://www.autocar.co.uk/News/NewsArticle/AllCars/253099/

Dire que je pensais que le futur de Lotus allait dans la direction de la voiture de sport légère et écologique. Enorme déception :-(